Aristote et Mc Solaar se rejoignent sur un point : «
la musique adoucit les mœurs ». Un sujet propice à de longues interprétations
où chacun aurait son mot à dire.
Aujourd’hui, un article léger sur ces mélancolies qui nous apaisent,
nous stimulent, nous font rire ou nous font pleurer. Quelques lignes en vrac
autour de ce sujet aussi vaste que passionnant.
La musique soigne. L’hôpital Necker à Paris a réalisé une
étude surprenante prouvant ‘efficacité de la musicothérapie sur ses patients. Les
malades touchés par la maladie d’Alzheimer par exemple trouvent réconfort et
sécurité dans la musique. Un effet apaisant qui à fait ses preuves.
La transe s’apparenterait à une musique de possession tandis
que la musique classique serait un langage universel touchant l’émotivité de
chacun à des niveaux différents.
La musique fait appel aux souvenirs, elle nous rappelle avec
tendresse les moments passés. Apaisés et mélancoliques, notre perception des
choses se modifie.
Faire un jogging avec de la musique booste nos performances,
la tonalité d’une musique de film peut en détourner tout le sens de la scène.
La musique agit sur nous au quotidien, elle est partout.
Importante pour notre équilibre, chacun l’assaisonne à son gout et y trouve
apaisement et plaisir.
Adoucir, un mot qui prit tout seul porte à réflexion. Adoucir
sa peau avec des crèmes, adoucir son caractère avec des thérapies et même
adoucir l’eau avec un adoucisseur (merci la pollution). Tout aujourd’hui est
question de douceur.
Je terminerais ainsi cet article bric à brac : restez
doux et simple car les rapports humains sont impitoyables et peu tangibles.
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